Alberstein met son enthousiasme et son amour de l’humanité au service des organisations, lors de congrès ou de séminaires. Par l’imaginaire, l’émotion et l’humour, il détend, il émeut, il fait rire. Il désamorce. Il est une surface sensible qui réfléchit.
« – Je suis angoissé, moâ… » confie Alberstein au public d’une convention où l’entreprise doit prendre une nouvelle direction. Il exprime l’angoisse palpable des collaborateurs.
« – Pas moi ! »
Et c’est ce dialogue impromptu qui donne la possibilité au directeur de partager sa vision et de justifier son enthousiasme.
Le clown permet que les participants soient touchés d’une manière souvent joyeuse et émouvante. Il mobilise le cerveau émotionnel. C’est une pause pour le cerveau rationnel et cartésien.
En créant une expérience commune, partagées par tous, il contribue à fédérer les participants autour d’un moment fort, d’un évènement exceptionnel qui fonde un sentiment d’appartenance dont on se souviendra. Il fait pétiller la situation.
Il ne peut pas être porteur d’un message qui l’instrumentaliserait. Il est au service de la part de rêves et d’enfance qu’il incarne. Il est respectueux du public, de l’organisation et de lui-même. L’effet de surprise contribue à enchanter le séminaire ; il ne doit pas être annoncé.
« Merci à vous pour la justesse de votre travail et aussi pour la poésie qui en émane. J’ai beaucoup apprécié. Et je ne pense pas être la seule 😉 » I. P. DRH d’une grosse structure de formation